Au nombres des solutions qui peuvent permettre aux hommes de ne pas trop souffrir quand ils sont dans l’agonie figure l’euthanasie. Solution très controversée et au cœur des incessants débats dans tout le monde, l’euthanasie apparaît pour certains comme une solution efficace alors que d’autres y voit une déshumanisation totale. Cet article fera un tour d’horizon sur les avantages et inconvénients essentiels à cette méthode.
Les arguments pour cette pratique
Pour le collectif des personnes qui défendent la pratique de l’euthanasie sur l’homme, le premier argument qu’ils avance pour soutenir leur position est le respect de la vie humaine. En effet, pour ces personnes, le patient étant responsable de sa vie et de son esprit doit pouvoir au vue des circonstances terribles, affreux qu’il vit décider d’une mort digne. Vous pouvez lire les dispositions prévues par la législateur pour avoir plus d’éclaircissement sur cet aspect. Ils estiment aussi que les patients en phase terminale sont ne pas souvent bien prise en charge par les médecins, ce qui peut provoquer plus de souffrance à leur niveau. Dans ces circonstances, la meilleure des choses c’est de lui laisser le libre choix de décider s’il veut continuer à supporter les douleurs ou s’il veut en finir plus dignement avec sa vie.
Les arguments contre la pratique
En réponse à ceux qui pensent que l’euthanasie est une bonne pratique, il y en a qui sont farouchement contre une telle pratique qui peut être considérée comme un suicide. Pour les personnes contre l’euthanasie, il faut définitivement proscrire cette pratique parce que les débordements qu’elle engendre sont très difficiles à analyser. Une personne dans l’agonie est considérée comme étant une personne ayant des troubles et variations d’humeur, ce qui le place dans une position d’incapacité à prendre les décisions raisonnables. En définitive, les personnes qui s’opposent à cette pratique affirment que si le législateur autorisait une telle pratique cela revient à légaliser le meurtre qui est sévèrement puni en France.